La sophrologie est aujourd’hui une profession reconnue et enregistrée par les institutions publiques. La profession est prise en compte par l’URSSAF, les caisses de retraites, les caisses d’assurance maladie...
Depuis novembre 2009, elle est dotée d’un code ROME (Répertoire Opérationnel des Métiers et des Emplois) au niveau du Pôle-Emploi national, ce qui pose clairement l’activité de Sophrologue (fiche K1103, concernant le développement personnel et le bien-être de la personne).
Les formations en sophrologie font de plus en plus souvent l’objet de prises en charge totales ou partielles soit par les fonds de formation, OPCA (Organismes Paritaires Collecteurs Agréés), de type Fongecif, Agefos, Agecif, Agefice... ou par pôle emploi, voire certaines collectivités territoriales.
L’obtention du titre RNCP (équivalent d’une VAE) réalisable auprès de plusieurs structures ou écoles fait désormais partie d’une forme de formation continue d’un nouvel ordre.
Tout ceci, constitue des avancées significatives pour les sophrologues français.
Les Etats Généraux annuels de la Formation en Sophrologie sont un lieu d’échange et de travail permettant aux Directeurs d’Ecoles, quels que soient les courants de :
Les capacités et les compétences professionnelles des futurs sophrologues sont validées par un système d’évaluation, quelles que soient les écoles, incluant des démonstrations pratiques, des vérifications théoriques et des stages d’application pratique. Il existe en France, plusieurs regroupements de Directeurs d’Ecoles en Sophrologie œuvrant pour une mise en harmonie des fondamentaux des programmes, quels que soient les courants tels que :
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