Dans une résolution du 27 mai 1997, le Parlement européen a invité la Commission à s’engager dans un processus de reconnaissance des médecines non conventionnelles, en observant « le regain d’intérêt pour des thérapeutiques traditionnelles et des remèdes plus doux qui visent moins à détruire un agent pathogène que rendre au corps humain sa capacité de résister à cet agent. »

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